• Mon commentaire:
    Alors mes écolos en herbes, qu'es ce que vous en dites, non seulement on va pouvoir nourir tous ceux qui meurt de faim et de maladie grace aux OGM, mais en plus c'est reconnu que c'est bon pour nous !

    Melove



    Sans danger et même bénéfiques, les OGM



    http://www.cyberpresse.ca/article/20060322/CPACTUALITES/603220884/1020/CPSCIENCES

    SELON UNE ÉTUDE DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
    Le mercredi 22 mars 2006, Charles Côté, La Presse



    Les plantes transgéniques utilisées dans l'agriculture au Québec n'ont pas d'impact négatif sur l'environnement et la biodiversité, selon les conclusions d'une étude de l'Université Laval que La Presse a obtenue.
    Au contraire, employées dans les règles de l'art, les variétés de maïs modifiées génétiquement pour résister à certains types d'herbicides peuvent conduire à un impact global moins nocif pour l'environnement. Et les agriculteurs peuvent obtenir avec les organismes génétiquement modifiés (OGM) des rendements comparables à ceux de l'agriculture industrielle classique, qui emploie des herbicides plus dangereux.
    «D'un point de vue agronomique, on contrôle les mauvaises herbes aussi bien et on ne perd pas de rendement, dit Dominique Michaud, auteur principal de l'étude. Et du point de vue de l'impact sur l'environnement, on a moins d'effets.» L'étude de près de 200 pages a été remise récemment au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. Elle avait été commandée en 2002 et avait reçu un financement de 200 000 $.
    Les chercheurs mettent toutefois quelques sérieux bémols. Ils estiment que les OGM, l'agriculture biologique et l'agriculture traditionnelle auront de la difficulté à cohabiter. Alors que l'agriculture biologique «doit garantir l'absence formelle de composantes OGM dans ses champs et les produits qu'elle distribue, l'idée même d'un taux de pureté génétique des semences atteignant 100 % sans OGM apparaît irréaliste dans les conditions actuelles de production et de manutention des denrées agricoles à travers le monde», conclut-on.
    «À moins qu'on décrète que dans telle ou telle région, il n'y a pas d'OGM, la contamination est inévitable, ajoute M. Michaud. Une plante ça se multiplie, par définition, et les systèmes de manutention ne sont pas hermétiques.»
    Par ailleurs, la portée des études réalisées jusqu'ici sur les OGM et l'environnement est insuffisante. Elles devraient s'étendre «sur plusieurs années» et l'ensemble d'une région, alors qu'elles «s'appuient le plus souvent sur des données récoltées sur des sites spécifiques pendant deux ou trois ans».
    L'étude se divise en trois volets. Dans le premier, M.
    Michaud fait le résumé de l'état de la recherche mondiale sur les OGM et leur impact sur l'environnement. Dans le second, on a sondé les agriculteurs sur leurs pratiques.
    La portion plus originale du rapport est la troisième.
    Elle présente l'impact des OGM sur la biodiversité dans des champs du Québec. «On a planté plusieurs lignées de maïs transgéniques et traditionnelles, dit M. Michaud. On a suivi sur deux ans les insectes qu'on retrouve dans les champs de maïs au Québec. Cela représente 25 espèces environ.»
    «Pour ce qui est des coccinelles, des pucerons et de la biodiversité en général, on n'a trouvé aucune différence entre les lignées transgéniques et classiques, dit le chercheur. En fait, il y avait plus de différence dans la biodiversité des insectes qui vivaient auprès de deux variétés traditionnelles, non transgéniques.»
    Le danger potentiel des plantes génétiquement modifiées a surgi dans l'actualité avec la publication d'une étude réalisée en laboratoire sur la supposée nocivité du maïs transgénique de type Bt pour le papillon monarque. Ce papillon, bien connu pour ses migrations jusqu'au Mexique, est un beau symbole mais un mauvais exemple, selon M. Michaud. Il explique que dans un champ de maïs traditionnel, les insecticides employés sont de toute façon nocifs pour le monarque, qui est un cousin de la pyrale de maïs, principal ravageur de cette récolte.
    «En condition agricole traditionnelle, le champ de maïs n'est pas un endroit très accueillant pour le monarque, dit-il. Alors que le maïs Bt est modifié pour s'attaquer spécifiquement à la pyrale.»
    L'étude de M. Michaud et ses collègues va soulever la controverse. Son auteur principal le sait très bien.
    Cela ne l'empêche pas d'avancer des idées plutôt impopulaires, comme l'avantage potentiel des semences «Terminator», selon le terme employé par les opposants aux OGM. C'est pourtant selon lui un des moyens qui pourraient empêcher les OGM de contaminer les cultures traditionnelles ou les plantes sauvages.
    «Les mesures de confinement physiques des OGM ne fonctionnent pas très bien, dit-il. Alors il faut peut-être mettre au point des méthodes de confinement moléculaires. Une des approches est de rendre les graines d'OGM inaptes à germer. On sait que les opposants aux OGM pensent que cette technologie fait partie d'un plan pour contrôler le commerce mondial des semences. Mais on ne peut pas exclure non plus que cette technologie peut prévenir la contamination.»


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    les Utopies d'hier sont les réalité d,aujourd'hui ....

    Melove


    Un écran qui se matérialise dans l'air

    Héliodisplay M2 (mid-air vidéo projector)
    http://www.artezia.net/technologies/HeliodisplayM2/HeliodisplayM2.htm

    Tout le monde a en mémoire la projection holographique de la princesse Léia dans "La guerre des étoiles", ou les écrans en 2D de "Minority report", cette prouesse technologique futuriste réalisée jusque là grâce aux effets spéciaux du cinéma, vient d'être mise au point par la société américaine Heliodisplay. Ils ont en effet conçu un video projecteur (le M2) capable de projeter une image dans les airs.


    L'ordinateur se connecte au vidéo projecteur dissimulé dans une table basse. Le vidéo projecteur envoie de l'air concentré sur lequel l'image apparait. Il n'y a ni retombées, ni odeurs, le procédé serait totalement naturel selon les constructeur. Le projecteur a approximativement la taille d'une tour de PC classique et peut donc se dissimuler facilement dans un meuble.


    L'Heliodisplay M2 a d'excellentes performances : une trés bonne résolution d'image, puisque même avec un environnement lumineux (comme sur les photos) l'image de projection apparait très nettement.
    Le point fort de l'Heliodisplay M2, c'est qu'il autorise une interactivité entre "l'écran" et l'utilisateur.
    On peut donc interagir avec l'image avec ses doigts ou au moyen d'une baguette afin d'agir sur des zones réactives définies sur le média projeté, comme faire tourner une voiture pour la voir sous tous ses angles ou naviguer sur un site Internet...
    L'Heliodisplay M2 permet se s'immerger totalement dans des univers virtuels.
    Le projecteur Heliodisplay M2 est compatible avec la plupart des sources vidéos classiques (PC, TV, DVD, HDTV ou consoles de jeux) via une connection VGA ou une connexion vidéo RVB classique. Le projecteur utilise la technologie DLP de Texas Instruments et affiche une image de 30" soit une diagonale de 76 cm.
    L'Heliodisplay M2 demeure tout de même un produit de rêve, destiné aux professionnels ou à une certaine elite, puisque le prix avoisinne les 18 000 dollars !


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  • Mon commentaire:
    on va y arriver , si ca marche pour les souris , on devrait y arriver bientot pour les hommes!!! 

    Melove




    Des souris qui en guérissent d'autres




    http://radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2006/05/09/004-souris-cancer-guerison.shtml


    Mise à jour le mercredi 10 mai 2006 à 12 h 37

    Cancer

    Voici ce qui pourrait devenir une percée médicale majeure. Des chercheurs américains ont injecté des globules blancs de souris résistantes au cancer à des souris atteintes de tumeurs. Résultats: ces dernières guérissent.
    La petite histoire d'une grande découverte
    Une équipe de recherche de l'université Wake Forest étudie le cancer depuis des années. En 1999, elle découvre que l'un de ces rongeurs résiste aux injections de cellules cancéreuses, alors que les autres en meurent. Sans comprendre la raison exacte de cette immunité, les chercheurs multiplient au maximum sa descendance, qui compte maintenant des centaines de ratons, tous porteurs de la même résistance.
    Les chercheurs ont ensuite injecté leurs globules blancs à d'autres souris n'ayant pas cette résistance et auxquelles des cellules cancéreuses avaient été injectées.
    Ce traitement a permis de guérir le cancer, même aux stades les plus avancés de la maladie.
    « C'est la première fois que les types agressifs de cancers sont traités avec succès. Nous n'avons jamais réussi avec d'autres traitements », soutient le Dr Zheng Cui.
    Cette résistance des souris au cancer serait une réaction innée du système immunitaire.
    Cette découverte pourra, éventuellement, permettre la mise au point d'une nouvelle thérapie chez les humains.
    Les résultats complets seront publiés bientôt sur le site des Proceedings of the National Academy of Sciences.


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  • Rael's comment:
    I decided to award Michael Berg the title of honorary Guide for his beautifull reaction to the execution of Abu Musab al-Zarqawi by the american army.Even with his son having been beheaded by this man, he still is opposed to revenge, saying the truth : that every act of violence bring more violence in a never ending vicious circle of death.Michael Berg is a living exemple of the values promoted by Gandhi which are the only one which can save the world : absolute non violence.

    Source: cnn
    http://edition.cnn.com/2006/WORLD/meast/06/08/berg.interview/index.html

    Beheaded man's father: Revenge breeds revenge
    Michael Berg talks about the death of his son and al-Zarqawi
    (CNN) -- The U.S.-led coalition's No. 1 wanted man in Iraq, Abu Musab al-Zarqawi -- who conducted a campaign of insurgency bombings, beheadings and killings of Americans and Iraqi civilians -- was killed in a U.S. airstrike.
    A gruesome video was posted on Islamic Web sites in May, 2004, depicting a man believed to be al-Zarqawi beheading Nicholas Berg, an American businessman who was working in Iraq.
    CNN anchor Soledad O'Brien talks to Nicholas Berg's father, Michael Berg, by phone from Wilmington, Delaware, for his reaction to the news.




    O'BRIEN: Mr. Berg, thank you for talking with us again. It's nice to have an opportunity to talk to you. Of course, I'm curious to know your reaction, as it is now confirmed that Abu Musab al-Zarqawi, the man who is widely credited and blamed for killing your son, Nicholas, is dead.

    MICHAEL BERG: Well, my reaction is I'm sorry whenever any human being dies. Zarqawi is a human being. He has a family who are reacting just as my family reacted when Nick was killed, and I feel bad for that.
    (Watch Berg compare Zarqawi to President Bush -- 1:44)
    I feel doubly bad, though, because Zarqawi is also a political figure, and his death will re-ignite yet another wave of revenge, and revenge is something that I do not follow, that I do want ask for, that I do not wish for against anybody. And it can't end the cycle.
    As long as people use violence to combat violence, we will always have violence.



    O'BRIEN: I have to say, sir, I'm surprised. I know how devastated you and your family were, frankly, when Nick was killed in such a horrible, and brutal and public way.



    BERG: Well, you shouldn't be surprised, because I have never indicated anything but forgiveness and peace in any interview on the air.



    O'BRIEN: No, no. And we have spoken before, and I'm well aware of that. But at some point, one would think, is there a moment when you say, 'I'm glad he's dead, the man who killed my son'?



    BERG: No. How can a human being be glad that another human being is dead?



    O'BRIEN: There have been family members who have weighed in, victims, who've said that they don't think he's a martyr in heaven, that they think, frankly, he went straight to hell ...
    You know, you talked about the fact that he's become a political figure. Are you concerned that he becomes a martyr and a hero and, in fact, invigorates the insurgency in Iraq?



    BERG: Of course. When Nick was killed, I felt that I had nothing left to lose. I'm a pacifist, so I wasn't going out murdering people. But I am -- was not a risk-taking person, and yet now I've done things that have endangered me tremendously.
    I've been shot at. I've been showed horrible pictures. I've been called all kinds of names and threatened by all kinds of people, and yet I feel that I have nothing left to lose, so I do those things.
    Now, take someone who in 1991, who maybe had their family killed by an American bomb, their support system whisked away from them, someone who, instead of being 59, as I was when Nick died, was 5-years-old or 10-years-old. And then if I were that person, might I not learn how to fly a plane into a building or strap a bag of bombs to my back?
    That's what is happening every time we kill an Iraqi, every time we kill anyone, we are creating a large number of people who are going to want vengeance. And, you know, when are we ever going to learn that that doesn't work?



    O'BRIEN: There's an alternate reading, which would say at some point, Iraqis will say the insurgency is not OK -- that they'll be inspired by the death of Abu Musab al-Zarqawi in the sense of he was turned in, for example, we believe by his own No. 2, No. 3 leadership in his ranks.
    And, that's actually them saying we do not want this kind of violence in our country. Experts whom we've spoken to this morning have said this is a critical moment where Iraqis need to figure out which direction the country is going to go. That would be an alternate reading to the scenario you're pointing to. (Watch how Iraqi leaders cheered after learning about al-Zarqawi's death -- 4:31)



    BERG: Yes, well, I don't believe that scenario, because every time news of new atrocities committed by Americans in Iraq becomes public, more and more of the everyday Iraqi people who tried to hold out, who tried to be peaceful people lose it and join -- what we call the insurgency, and what I call the resistance, against the occupation of one sovereign nation.



    O'BRIEN: There's a theory that a struggle for democracy, you know...



    BERG: Democracy? Come on, you can't really believe that that's a democracy there when the people who are running the elections are holding guns. That's not democracy.



    O'BRIEN: There's a theory that as they try to form some kind of government, that it's going to be brutal, it's going to be bloody, there's going to be loss, and that's the history of many countries -- and that's just what a lot of people pay for what they believe will be better than what they had under Saddam Hussein.



    BERG: Well, you know, I'm not saying Saddam Hussein was a good man, but he's no worse than George Bush. Saddam Hussein didn't pull the trigger, didn't commit the rapes. Neither did George Bush. But both men are responsible for them under their reigns of terror. (Watch
    I don't buy that. Iraq did not have al Qaeda in it. Al Qaeda supposedly killed my son.
    Under Saddam Hussein, no al Qaeda. Under George Bush, al Qaeda.
    Under Saddam Hussein, relative stability. Under George Bush, instability.
    Under Saddam Hussein, about 30,000 deaths a year. Under George Bush, about 60,000 deaths a year. I don't get it. Why is it better to have George Bush the king of Iraq rather than Saddam Hussein?


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    Il faudrait qu'en plus il mettent l'indice de pollution (GPI) crée par Rael et le docteur Mehran Sam, ainsi les consommateurs pourrait voir par eux même le taux de pollution des deux produits (plastique, pomme de terre) durant sa fabrication, consommation et recyclage.
    http://www.pollutionrating.org/

    Melove


    Le sac en pommes de terre à l'assaut de son concurrent en plastique

    http://www.cyberpresse.ca/article/20060803/CPACTUEL/60803074/5147/CPSCIENCES
    Dominique Aubin
    AFP


    Ambrumesnil, France
    Depuis quelques mois une appétissante odeur de pain grillé flotte dans l'air d'une petite usine de d'Ambrumesnil, en France, qui s'est lancée dans la fabrication de sacs biodégradables à partir de fécule de pommes de terre.
    Hormis cette odeur qui s'échappe lors du chauffage de la fécule, rien n'a changé dans cette usine de la société Plastiques et Tissages de Luneray (PTL, filiale du groupe français d'emballage Sphère), qui est la première à produire de tels sacs en France.
    «Les chaînes qui servaient à la fabrication de sacs en plastique sont utilisées sans transformation pour produire les modèles bio», assure René-Pierre Renault, directeur de PTL.
    À la place des granulés de plastique, les ouvriers introduisent dans les extrudeuses des granulés de fécule. «La pomme de terre qui est utilisée est très riche en fécule et ne serait probablement pas recommandée par les diététiciens en raison de sa forte teneur en sucre», précise le directeur.
    La préparation est ensuite torturée à travers plusieurs machines avant de ressortir en bout de chaîne sous forme de sacs poubelles ou de congélation. En apparence, les modèles en pommes de terre ressemblent à leurs concurrents en plastique, hormis peut-être un toucher plus soyeux pour les premiers.
    Les sacs «bios» n'auraient pratiquement que des avantages, selon René-Pierre Renault: «Il sont économes en énergie car ils ne doivent être chauffés qu'à 140 degrés au lieu de 180, ils nécessitent moins de matière première car ils sont de 15 à 20% plus denses, il sont plus résistants en raison de la consistance de la fécule, ils offrent un nouveau débouché aux agriculteurs et ils se dégradent en cinq ou six mois contre 400 ans pour le sac en plastique».
    Il est toutefois un critère pour lequel le sac en fécule ne peut aujourd'hui rivaliser avec son homologue en plastique: son prix. «Le double...», reconnaît René-Pierre Renault. Mais à ses yeux, ce handicap devrait se résorber très vite. «Le prix du plastique est condamné à la hausse comme celui du pétrole dont il est issu, tandis que le sac en fécule baissera à la faveur de l'augmentation des volumes», assure-t-il.
    Ces tendances devraient favoriser le développement du sac en pommes de terre mais aussi de tous les autres modèles biodégradables, notamment ceux à base d'amidon de maïs développés par des concurrents du groupe Sphère.
    Chez PTL, la production de sacs «bios» commencée en décembre 2005 devrait atteindre 600 tonnes en 2006, mais restera très minoritaire face aux 27 000 tonnes de sacs en plastiques que le groupe continuera à produire. «Mais nous sommes prêts à basculer du jour au lendemain vers le bio si la demande est là», assure le directeur.
    Cette production à base de matière végétale représente un retour aux origines pour cette société de 200 salariés qui a longtemps fabriqué des sacs en toile de jute à partir de lin, avant de passer au «tout plastique» dans les années 70.


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